RetourCette histoire se déroule en France, Mosé un ancien paysan d’origine italienne vit à l’hospice à cause de son vieil âge. Ce sont ses filles qui l’y ont placé, car elles l’accusent d’avoir tué leur mère, Mélanie. Il n’arrive vraiment pas à s’y intégrer, à cause des chambres collectives, des odeurs de vieux, des respirations et des ronflements, et des personnes qui ne lui adressent pas une parole. Rejeté par les autres, il trouve une place sur un banc, à l’ombre, à côté d’une vielle femme du nom de Jeanne, qui est muette. Là, il commence à lui raconter sa vie. Quand il était plus petit, sa mère était " folle de la tête " et son père, malade des poumons. Il avait aussi un frère qui commençait à être comme sa mère. Il parle de la joie que cela procure d’être au soleil à côté de son père à le regarder réparer des chaises sur les places des villages d’Italie. Mais après son père mourut à cause du travail qu’il effectuait dans les mines ; Mosé avait huit ans. Sa tante les mit, lui et son frère à l’orphelinat chez les soeurs. Enfermé entre de gros murs avec de toutes petites fenêtres, Mosé est privé de chaleur et de lumière. Plus tard, à l’âge de quatorze ans, on le plaça dans une usine de chaussures où il découpait du cuir dans une cave, avec des odeurs de pourritures. Il travailla jusqu’à ses vingt ans. Après il partit en France pour gagner un peu d’argent. Un dimanche dans une fête au bord de l’eau, il mit enceinte Mélanie, sa future femme. Il acheta les terres et la maison de ses beaux-parents. Les années passaient sa femme mit au monde deux filles, il fit la connaissance d’amis, il laboura la terre et s’occupa des animaux. Mais l’envie de partir devenait de plus en plus grande ; Mosé voulait voir l’océan plein de lumière et de chaleur. Il voulait voir les vagues qui rencontrent la terre, et les plages de sable chaud. De plus il aimait lire, mais Mélanie n’était pas d’accord. Elle disait que toutes ces choses étaient stupides et elle se mettait en colère. Le jour de la Saint-Jean, Mosé décida de vraiment convaincre qu’il devait partir quelques jours, pour réaliser son rêve. Mais elle refusa et s’énerva tout en brandissant le bâton. Mosé le lui prit d’une main et tint le cou de l’autre. Il n’eut même pas le temps de serrer, qu’elle tomba dans la paille. Il fit venir le médecin qui découvrit qu’elle était morte. Ce n’était pas de sa faute maie celle de sa jambe qui était enflée. Elle avait eu une phlébite. Mosé lui en voulu d’être partie comme ça par un jour de grand travail. À l’hospice, il ne parlait qu’à Jeanne. Un jour alors que celle-ci était mal il lui ramena du vin de sa cave pour lui redonner des forces. Elle en mourut.
Que fit alors Mosé ? Arrivera-t-il a réaliser son rêve ? À vous de le découvrir...
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