Critique du collégien :

Ce livre est intéressant car il parle du manque d'eau sur terre et ce problème pourrait tres bien nous arriver.

Ce que je trouve difficiles dans ce livre c'est que dans les premiers chapitre , l'auteur explique trop d'un coup et entre le premiers chapitre et le deuxièmes l'on est directement projeté dans un autre lieu et une autres histoire tout en parallèles avec l'autre.

La critique d'Oriane

Ce livre nous introduit « in media res » dans un futur possible quoiqu'imaginaire. En effet, avec le thème de la guerre de l'eau, l'auteur ne s'éloigne pas de la réalité puisque nous connaissons les enjeux de cette dernière dans les régions désertiques du monde et qu'elle rappelle également les conflits générés par le pétrole, « l'or noir ». La société totalitaire qu'elle nous présente ne nous est pas étrangère non plus et rappelle de tristes souvenirs du 20ème siècle. En ce sens, ce livre peut nous paraître teinté d'un certain pessimisme. Cependant, par la mise en scène de jeunes tentant de changer le cours des choses, elle fait apparaître tout l'espoir qu'elle a en cette jeunesse et toute la force de vie de cette dernière dans un 21ème siècle de terreur. La structure du récit est cependant quelque peu abrupt puisqu'en deux chapitres tous les personnages sont mis en scène et les liens qui vont se construire entre eux se laissent supposer facilement. Toutefois, ce livre bien qu'emprunt d'idéaux écologiques quelque peu manichéistes reste à la fois poétique et sentimental : les personnages sont attachants par leur caractère et par la volonté qu'ils ont de défendre l'intérêt de la planète ; D. Martinigol nous livre dans L'or bleu un beau message de vie… L'intrigue est riche en rebondissements, ce qui confère à l'œuvre toute la dynamique du récit : un livre pour les amateurs de science-fiction !