La science-fiction est pour lui différente du merveilleux et du fantastique, " qui sont respectivement l’irrationnel accepté et l’accident du rationnel. C’est une méthode qui pose une règle du jeu, scientifique, rationnelle, un " si majuscule " à partir duquell’auteur décline rigoureusement toutes les possibilités. "
Ce qui le séduit dans ce genre est que la science-fiction permet de répondre aux questions fondamentales que l’on se pose sur le futur. Elle le séduit parce qu’elle est " une littérature du collectif, qui brasse des problèmes de société. "
Sa vision de l’avenir évolue, au fil de ses oeuvres.
Mais les points communs des mondes utopiques qu’il a imaginés sont que la science et l’homme sont réconciliés. Ce sont aussi des mondes où il n’y a plus de conflits.
" Chaque homme y a une place pour s’épanouir... "
Tout roman de science-fiction permet de réfléchir à un problème d’aujourd’hui.
Par exemple, dans le livre VIRUS LIV3 il a voulu montrer que les livres ne mourront pas.
Son imaginaire ne s’attache pas qu’à la science mais aussi au monde contemporain, au polar et au roman intimiste.